ZonoSistem assume la réparation du générateur d'ozone d'une importante station d'épuration à Salamanque
Les clients apprécient hautement cette grande qualité de notre entreprise. Nous offrons des solutions réelles et avec une action rapide.
Image d'un des réservoirs de la Communauté de Cabeza de Horno (Salamanque)
Une installation commandée par un fournisseur et maintenance d'un générateur d'ozone dans une station d'épuration de l'eau potable (DWTP) de la ville de Villaseco de los Reyes, qui appartient à la Mancomunidad Cabeza de Horno (Salamanque), gérée par une grande multinationale, qui est quatrième dans le classement des gestion de l'eau en Europe, et neuvième dans le monde par la population desservie.
Nous avons reçu un appel de l'entreprise requérant nos services pour la réparation et la mise en route de son générateur d'ozone. Notre directeur commercial Sergio Sánchez les a accompagnés très cordialement, ils ont réussi à se comprendre rapidement et Sergio leur a fourni les solutions qu'ils recherchaient, en plus d'une courte formation sur les utilisations et le fonctionnement du générateur, qui a été offerte avec le budget.
Dernier mardi 15 juin 2021, nos collègues se sont rendus dans la ville de Villaseco de los Reyes pour effectuer la réparation du générateur, ils proposeront également une formation à son utilisation, expliquant les étapes de chaque partie du projet et le protocole de démarrage manuel du générateur .
ZonoSistem a sûrement gagné un nouveau client, qui nous fera à nouveau confiance pour toute incidence ou nouveaux investissements de cet important groupe d'affaires présent dans le monde entier.
ZonoSistem a participé à la conférence technique sur la moule zébrée pour présenter son expérience et proposer des solutions avec l'ozone
Le Conseil général d'irrigation d'Aragon et de Catalogne, une entité qui gère et regroupe quelque 120 communautés d'irrigation de la région. Organisez cet événement technique sur la moule zébrée, avec des universités, des vétérinaires et des entreprises du secteur, car ils reçoivent en moyenne trois appels par jour de leurs communautés d'irrigation, demandant des informations sur le problème de cette espèce envahissante.
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